Retour à Dali

Publié le par PetitLu

Chengdu quand c'est gris, ca ne fait pas semblant d'être gris. Voici quelques photos du pic de pollution d'aujourd'hui. Parfois j'ai plutôt envie d'appeler cela un « plateau en altitude » de pollution. Parce qu'un pic ca redescend après être monté. Les laowai Kunminguais l'appellent « la ville sans soleil », difficile de rivaliser quand on compare avec Kunming « la ville du printemps eternel » selon les chinois. Je me défend avec mon solide argument qui consiste a dire « oui mais c'est aussi la ville des femmes les plus belles de Chine, et la grisaille on s’en tape ». Voici tout d'abord quelques photos prises aujourd'hui même à Chengdu :



Voila pourquoi j'ai quand même décidé de partir une petite semaine à Dali afin de m'aérer un peu les poumons. Ayant déjà parlé de cette ville auparavant, je vais me contenter de vous envoyer une petite vidéo d'un bar (ou plutôt d'une communauté hippie) formidable à Dali. C'est la caverne d'Ali Baba la dedans. Chacun ramène un objet débile et cela apporte une pierre à l'édifice. Ca serait tout de même bien que le prochain pense à ramener deux ou trois parpaings parce que y'a pas mal de trous dans les murs.



Par une belle journée de printemps où Fubu et moi-même fumions de l’herbe à pipe à la terasse du Caféine Club, un autre bar très agréable de Dali. Nous avons été perturbés dans notre somnolence par des cris inhumains. Nous nous sommes précipités à la rambarde pour voir quel drame se tramait à coté de nous. Effectivement, les cris était inhumains puisqu’ils venaient d’une truie en cage qui se faisait probablement emmener à l’abattoir. Ce jour là j’ai enfin compris le sens de l’expression « hurler comme une truie qu’on égorge ». Ca crie fort une truie.
Cette histoire vous parait peu consistante, voir même sans intérêt ? Et bien vous avez raison puisqu’elle ne sert qu’à justifier la présence des photos suivantes.



Publié dans Voyages en Chine

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